Parlons-ensemble de l’autoédition !

« Pour être reconnue par tes pairs et par les lecteurs, tu dois faire comme tout le monde ! Commence par l’autoédition ! Après, ce sera plus facile d’être visible et légitime aux yeux des maisons d’éditions ! »

N’avez-vous jamais entendu ce genre de conseils ?

Si l’autoédition paraît la voie royale pour débuter dans le métier, elle reste un processus délicat qui demande de mobiliser beaucoup de compétences, de patience, d’énergies, d’humilité, d’organisations et de préparation !

Dans cet article, je vous explique le processus en 7 étapes que j’ai suivies pour autoéditer mon livre “Louise aime la Mer”. Si la conception du livre m’est apparue très prenante, les démarches pour l’autoéditer demandèrent clarté et concentration pour éviter les écueils et les oublis.

ÉTAPE 1 : RETRAVAILLER SON LIVRE

L’écriture et l’illustration de votre livre sont achevées. Vous êtes familiers à son univers, ses mots, ses images, sa tonalité. Il est normal à ce stade de faire une pause, pour retrouver un œil neuf avant de commencer à le relire, le corriger et à le réécrire.

Si vous avez le budget, sollicitez un correcteur professionnel pour vous assurer qu’il n’y ait pas de coquille ou de fautes d’orthographe. Petits conseils : Faîtes également relire votre livre à plusieurs personnes afin de vous rassurer sur la compréhension et la cohérence de votre texte.

ÉTAPE 2 : METTRE EN VALEUR SON LIVRE

Mettre en valeur son livre consiste à travailler soigneusement sa couverture et sa mise en page.

Un vrai métier de graphiste !

À ce titre, si vous avez le budget, ne boudez pas le plaisir de vous faire aider par un graphiste professionnel ! Il saura vous donner de précieux conseils pour une mise en page de qualité.

Dans le cas où vous devez réaliser seul-e cette étape, il est recommandé de travailler avec des logiciels comme InDesign et d’anticiper la mise en page pour éviter de perdre un temps précieux.

En outre, il est conseillé de penser en amont, le format de votre livre, la taille des marges, les polices de caractères, la taille et la place du titre, la taille du texte et sa répartition, la numérotation des pages, les fonds perdus pour les illustrations. En effet, lorsque votre livre sera prêt à l’impression, il faut anticiper les traits de découpe qui vont grignoter les marges.

Il est crucial que la mise en page de votre livre soit harmonieuse, respectant le même style et une même unité visuelle des pages écrites et illustrées. Il est important de vérifier que le texte soit justifié, aligné, les interlignes aérées. La taille des marges doit être également réfléchie pour faciliter la lecture et le placement des doigts. Une mauvaise prise en main du livre aura une influence indéniable sur le plaisir de la lecture. Pareillement, il ne faut pas occulter les marges intérieures réduites par la pliure du livre.

Concernant les pages illustrées, il faut anticiper sur les fonds perdus qui comme les marges grignoteront potentiellement des détails importants.

Au-delà de la mise en page, vous allez devoir réfléchir à la couverture de votre livre.

Cette étape reste complexe. Il va falloir choisir, presque parier sur le visuel qui sera susceptible de déclencher un coup de cœur, sinon un intérêt pour votre livre, et de rédiger soigneusement un résumé qui suscitera l’envie de le lire. Sa mise en page est aussi exigeante. Il faut anticiper l’épaisseur du livre et le rendu des couleurs selon la finition et l’espace de certaines mentions sur le verso.

ÉTAPE 3 : PROTÉGER SON LIVRE ET RÉALISER LES DÉMARCHES ADMINISTRATIVES

L’autoédition demande un certain formalisme et exige le respect de formalités administratives pour pouvoir diffuser et commercialiser son livre. Je sens que certains se voient pousser des boutons, mais je vous rassure ce n’est pas compliqué !

Sur votre livre devront apparaître des mentions légales et obligatoires. Cela vous permet de protéger votre travail et de faciliter sa diffusion. Alors que retrouve-t-on sur votre livre ?

  • Le prix en euro
  • Le numéro ISBN, qui est le numéro identifiant pour l’édition de votre livre, servant à faciliter l’identification, la recherche et la gestion de votre livre, notamment par des libraires. Pour l’obtenir, vous devez en faire la demande auprès de l’Agence francophone pour la numérotation internationale du livre (AFNIL). Le lien ici.
  • Le “Dépôt légal” et la mention du mois et de l’année du dépôt, auprès de la Bibliothèque Nationale de France (BnF). Le dépôt à la BnF est obligatoire dès lors que votre livre est susceptible d’être commercialisé et mis à la disposition d’un public (hors du cercle familial ou d’amis) à titre onéreux ou gratuit.
  • Votre nom (ou raison sociale) + votre site internet.
  • Le nom et la raison sociale de l’imprimeur.
  • Des mentions pour protéger votre livre du type « Tous droits réservés. Reproduction, même partielle, interdite », ou encore “Tous droits réservés pour tous pays” avec le rappel de la loi “Loi N° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinées à la jeunesse”.

Étape 4 : CHOISIR UN IMPRIMEUR PROFESSIONNEL

Quand on décide d’autoéditer son livre, les conseils d’un imprimeur professionnel me paraissent primordiaux et salutaires. Face aux possibilités et aux différentes caractéristiques de fabrication du livre, on peut se sentir très vite perdu-e.

Format du livre, épaisseur du livre, reliure en dos carré collé ou dos cousu ? Finition effet mat, brillant, soft touch ? Grammage des pages intérieures et de la couverture ? Couverture souple ou rigide ? Dorure ?

L’imprimeur professionnel peut vous aider sur le choix des papiers, des textures et des effets que vous souhaitez pour votre livre, apportant une qualité professionnelle à votre livre autoédité.

Pour ma part, j’ai été contente d’être accompagnée dans cette étape par un imprimeur Imprim’Vert, éco-responsable et française : l’Atelier Print, basé à Toulouse.

ÉTUDE 5 : CONVENIR D’UN PRIX DE VENTE POUR SON LIVRE

Lorsque l’on choisit l’autoédition, on doit fixer soi-même son prix de vente. Mais ce n’est pas une mince affaire !

Il convient de réaliser “une mini étude de marché” pour connaître le prix moyen des livres du même genre ou d’un genre similaire. Ensuite, il convient d’intégrer dans le calcul, les frais de fabrication, d’emballage, et la part d’autres éventuels prestataires (distributeurs, libraires, graphistes, correcteurs…) afin de connaitre en amont votre marge d’auteur-trice.

Prix du livre autoédité = frais de fabrication + frais d’emballage + part des prestataires + marge d’auteur.

Généralement, les distributeurs et les libraires demandent entre 20 et 40% sur le prix de vente.

ÉTAPE 6 : PRÉPARER LA SORTIE DE SON LIVRE ET TRAVAILLER SA COMMUNICATION

Maintenant que votre livre est imprimé, il est temps de commencer à le faire connaître à votre public ! Voici venu le temps de la communication !

Comme les précédentes étapes, celle-ci réserve son lot de difficultés lorsqu’on a tendance à être réservé-e et à rester dans les coulisses ! Commencez simplement, tout simplement !

  • Préparez des contenus pour les réseaux sociaux, afin de présenter l’avancée de votre ouvrage, le lancement, la date de sortie, les précommandes et les endroits où l’on pourrait trouver votre livre.
  • Présentez votre livre à des librairies, des boutiques, des écoles et des médias.
  • Participez à des salons, des festivals, des rencontres…
  • Proposez des séances de dédicace dans votre salon de thé habituel ou dans un café que vous affectionnez.
  • Laissez exprimer votre part de créativité pour que votre communication vous ressemble !

ÉTAPE 7 : VENDRE SON LIVRE ET GÉRER L’APRÈS

C’est la dernière étape ! Vous devez réaliser une prospection commerciale pour choisir vos futurs partenaires-distributeurs ! Vous voyez une ligne d’arrivée se profiler devant vous, mais vous devez mobiliser encore beaucoup d’énergie. Ce n’est pas encore fini !

Maintenant, vous devez convaincre les libraires de prendre en dépôt-vente quelques exemplaires ou de vous acheter directement des exemplaires. Là, vous devez mettre vos casquettes de commercial -le et d’agent artistique pour expliquer la genèse de votre livre, vos choix et ce que vous souhaitez offrir aux lecteurs avec votre livre. Il faut être prêt-te à accueillir toute critique et à se dévoiler ! Il ne faut pas rester caché-e derrière son livre, il faut parler de soi ! Selon votre personnalité, votre tempérament et votre histoire, cette étape peut vous sembler difficile. Mais elle fait partie intégrante du parcours !

Si vous les vendez vous-même, vous allez devoir organiser un temps pour réaliser les dédicaces, les emballages et les envois. Il faudra vérifier la réception de vos exemplaires, répondre aux mails et potentiellement devoir rechercher vos exemplaires que votre prestataire de livraison a égaré !

Mais ce qui est génial à cette étape de l’autoédition, ce sont les retours de vos lecteurs et/ou acheteurs. Autoéditer et vendre par soi-même permettent de préserver un lien a minima avec son lectorat et sa communauté. Ce sont de véritables ressources d’énergies et de gratitude ! Alors après une campagne de communication et de vente, profitez de ces moments précieux que vous offre votre public, parce qu’il encourage à avancer et à proposer de nouvelles choses.

J’espère que cet article aidera quelques-uns à avoir une idée de l’autoédition !

Parlons de la conception – Livre « Louise aime la Mer » – Claudille

“Louise aime la Mer” , album jeunesse écrit et illustré par Claudille, est sorti le jeudi 22 juin, en autoédition, à Nice.

Résumé

Les vacances d’été commencent pour Louise. Lors d’une journée à la plage avec sa mamie Rose, Louise attend son papy qui s’est absenté le temps d’aller récupérer son voilier.

Mais le temps lui paraît très long ! Heureusement, Louise va faire de jolies rencontres qui vont l’aider à patienter avec douceur et à découvrir les bienfaits de la mer.

Pleine conscience pour les enfants – Patience – Bienfaits de la Mer – Amitiés

Le choix du made in France et de l’impression responsable : l’Atelier Print

Imprim’Vert

L’ATELIER PRINT est un professionnel de l’impression, plaçant l’éco-responsabilité au cœur de ses démarches et de ses réalisations. S’engageant en faveur de l’environnement, l’Atelier Print est Imprim’ Vert.

L’entreprise utilise du papier certifié PEFC et FSC, des encres végétales et elle adopte des pratiques durables.

En effet, l’Atelier Print veille à la minimisation des déchets (systèmes de calage optimisé et encrage automatique), au suivi régulier des consommations énergétiques et à la sensibilité environnementale des équipes pour limiter l’impact de la production sur la planète. J’ai été sensible aux valeurs de l’Atelier Print et à l’esprit familial.

Imprim’Vert – Eco-Responsable – Toulouse – France

De la qualité à la souplesse pour le confort des petites mains !

J’ai choisi une couverture souple pour faciliter la prise en main du livre par les jeunes enfants.

Souple oui et de qualité !

Le papier des 4 pages de la couverture est un papier “couché moderne satin” de 350grs/m2, avec un pelliculage Dry Brillant et un façonnage Dos carré collé.

Pour les 24 pages intérieures , il s’agit également d’un papier couché moderne satin mais avec un grammage plus fin de 170 grs/m2 pour qu’elles puissent être tournées facilement sans rigidité.

La douceur du papier rend la lecture très agréable. Les illustrations sont mises en valeur. C’est tout ce que j’espérais !

En conclusion, mon travail d’illustratrice est aussi de penser au confort des petits lecteurs et lectrices, en privilégiant la qualité, la souplesse et la douceur des papiers. Parce qu’initier les enfants à la lecture ne peut se faire au détriment de leur avenir … j’ai fait le choix d’un imprimeur Imprim’Vert qui s’engage au quotidien pour limiter l’impact de ses activités sur la planète.

Qu’en pensez-vous ?

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Parlons des couleurs – Livre “Louise aime la Mer” – Claudille

Parlons Couleurs !

Les illustrations du livre “Louise aime la Mer” ont vocation à éveiller des impressions de douceur et de sérénité.

Le choix des couleurs dominantes donne du sens au projet. S’il répond aux “codes” symboliques et culturels de la mer, une réflexion chromatique a été poussée au-delà des attentes classiques du jeune lecteur/spectateur.

On retrouve bien évidemment les tonalités traditionnelles du sable, de l’écume de mer et du ciel. Toutefois, le bleu vert dit “calanque” de la mer a été choisi sciemment pour renforcer la dimension symbolique de la couleur. Entre le bleu qu’on associe volontiers à l’eau, l’air, la mer et à ses propriétés apaisantes notamment pour le sommeil, des touches de vert viennent compléter nos impressions de naturel, de repos et de sérénité. Ce bleu vert s’accorde avec les autres couleurs des illustrations, en mettant en valeur plusieurs éléments dont la petite fille Louise, et les autres personnages de l’histoire.

Le jaune : de la robe de Louise aux maillots de bain !

Le jaune est une couleur rayonnante et lumineuse. Elle évoque le soleil, la lumière, le rayonnement, le dynamisme, l’intelligence et la communication. Elle est une couleur intense et a une connotation positive, notamment avec l’arrivée de l’été et des vacances. Elle symbolise volontiers l’énergie et notamment celle des enfants ! Le choix du jaune pour mettre en valeur le personnage principale, devenait évident. Si Louise s’impatiente au début de l’histoire, elle prend plaisir à suivre les suggestions de ses nouveaux amis, tout au long de cette journée à la plage. Elle est communicative, volontaire, attentive et passionnée. Je n’ai pas voulu changer de couleur pour les maillots de bain. Moins intense, le jaune devient pastel. Il reste présent afin d’éviter la multiplication d’informations visuelles du jeune lecteur.

Les surfaces claires de sable : pour agrandir l’espace !

J’ai choisi de composer mes illustrations de sorte que les espaces de sable soient plus importants que les autres éléments. Ma volonté est ici de créer un équilibre entre les couleurs médiane (bleu vert) et tonique (jaune) et une couleur sable dominante. La couleur sable est légèrement rosée, pour évoquer la douceur, la légèreté et l’enfance.

En étant plus claire et plus neutre que les autres couleurs, la couleur sable renforce la perception d’espace et de calme.

En conclusion, mon travail d’illustratrice est de penser un projet de livre, en prenant en considération l’âge cible du lecteur et le message que je souhaite véhiculer au-delà du texte. Les couleurs et l’effet épuré de mes illustrations servent à guider le regard du spectateur/lecteur afin qu’il puisse percevoir la dimension relaxante de l’histoire.

J’ai voulu avec ce livre, permettre aux plus jeunes de s’évader avec Louise, le temps d’une lecture où je l’espère, ils percevront les vertus du calme et de la sérénité communiquée par la mer ; le fait de prendre le temps et de découvrir des opportunités de se détendre tout en s’amusant.

Qu’en pensez-vous ?

Design du “Polo Centenaire de l’Etoile Sportive Villeneuve Loubet Pelote basque et provençale”

UNE CREATION CLAUDILLE POUR L’ESVL PELOTE BASQUE

Dessiner le visuel pour l’arrière du Polo centenaire de l’ESVL Pelote Basque a été pour moi une magnifique expérience !

Comme tout ce qui touche les design de vêtements pour le grand public, je suis sensible aux dessins, aux couleurs, aux motifs et aux messages véhiculés. Je rêvais qu’un jour mes illustrations seraient vues sur du textile et pourraient transmettre des valeurs communes suscitant à leurs porteurs/porteuses, une certaine fierté de représenter un Club ou de se faire plaisir !

Lorsque le Club ESVL Pelote Basque m’a proposé cette collaboration, l’idée de créer un visuel personnalisé m’a enchantée, d’autant plus que j’étais libre de leurs faire toutes les propositions possibles. J’avais carte blanche ! La seule exigence posée était de réaliser un visuel représentatif du Club de Villeneuve-Loubet.

J’ai réfléchi, de prime abord, à représenter les bâtiments et lieux typiques de Villeneuve Loubet comme :

  • la Marina Baie des Anges avec ses bâtiments en forme de bateau,
  • son joli village,
  • son pont sur le Loup
  • le Loup, fleuve côtier méditerranéen qui traverse la commune et se jette dans la mer Méditerranée ;
  • sans oublier la chaîne de montagne des Alpes- Maritimes avec son massif du Mercantour enneigé.

Villeneuve-Loubet étant une commune entre mer et montagnes, j’ai choisi de composer ma création avec un point de vue panoramique depuis la mer Méditerranée.

Ensuite, j’ai pris plaisir à étudier l’histoire du Club. J’ai appris que le premier fronton était situé dans le village, sur la place du Général de Gaulle. Aujourd’hui, on peut encore le voir sur la façade d’une maison. Il a trouvé sa place dans le visuel entre le village et l’actuel fronton place libre datant de 1987. Ce dernier se trouve dans l’enceinte du Parc des Sports de Villeneuve Loubet.

L’Etoile Sportive de Villeneuve Loubet Pelote Basque propose de s’essayer à plusieurs disciplines de la pelote basque (Euskal pilota) : la main nue, la grosse pala, la paleta cuir … et aussi la grande chistera pour les petits de l’école de pelote. Ce sont principalement des spécialités se jouant en place libre, soit sur un terrain non couvert composé d’un mur. C’est la raison pour laquelle je devais intégrer dans le visuel le fronton en respectant ses couleurs et un pelotari jouant à la pala sur un premier plan.

Après des premiers essais qui ont plu, j’ai réalisé quelques modifications notamment concernant la typologie. Puis nous sommes arrivés ensemble à ce design. Les polos du Centenaire de l’ESVL Pelote Basque – 2022 sont aujourd’hui portés par les licenciés du Club ESVL Pelote Basque et leurs familles et amis.

Qu’en pensez- vous ?

De quoi parle “Louise aime la Mer” ?

Sortie le 22 JUIN 2023 – Livre auto-édité : Louise aime la Mer

Une histoire pour décliner les manières de patienter et de profiter de ce temps pour s’évader, se découvrir, se relaxer et se faire de nouveaux amis !

Les vacances d’été commencent pour Louise. Lors d’une journée à la plage avec sa mamie Rose, Louise attend son papy qui s’est absenté le temps d’aller récupérer son voilier. Mais le temps lui paraît très long ! Heureusement, Louise va faire de jolies rencontres qui vont l’aider à patienter avec douceur et à découvrir les bienfaits de la mer…

Les mots de Claudille

Cette histoire est l’occasion d’aborder le sujet de la patience et de ses vertus, à hauteur d’enfants et avec bienveillance. Les illustrations accompagnent le texte et s’accordent à l’univers relaxant et enfantin de cette journée à la plage.

“J’ai aimé écrire et illustrer une histoire pour enfants, autour de mon personnage principal Louise. La situation de départ est marquée par son impatience. Elle aime faire du voilier et passe son temps à scruter l’arrivée de son grand-père. Elle ne vit pas le moment présent et son esprit vagabonde. Heureusement, des amis marins entrent en scène et lui proposent des jeux et des manières de patienter, sans intention moralisatrice. Tour à tour, Louise est accompagnée dans l’exploration des bienfaits de la mer, sur l’écoute de ses émotions et de ses sensations corporelles. J’ai voulu écrire cette histoire et l’illustrer à hauteur d’enfant, en effaçant la présence des adultes. Avec Louise, j’invite les enfants à découvrir mon univers enfantin, empli de douceur de bienveillance et j’espère leurs offrir un moment d’évasion et de détente par la lecture. Claudille, autrice et illustratrice.

“Louise aime la Mer” s’adresse à un enfant de 4 à 7 ans.

Les illustrations sont pensées pour que le trait, les couleurs et le style Claudille puissent l’accompagner dans la compréhension de l’histoire sans le noyer dans les différentes informations écrites et visuelles.

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